"Nous faisons des bijoux qui respirent la Patagonie et le soleil, en toutes saisons !"
Inspirées par les teintes envoûtantes de la Patagonie, les créations évoquent un appel au voyage, à la liberté et à la singularité féminine.
De la première esquisse à la touche finale , chaque bijou est le fruit de l'imagination et de la sensibilité artistique de la créatrice. S'inspirant de la nature luxuriante de la Patagonie, les collections incarnent l'élégance, la chaleur et l'éclat des couleurs.
Fabrication
Les bijoux sont fabriqués en France et en Amérique latine.
La marque valorise le travail fait à la main et met un point d’honneur à ce que ses artisans profitent du développement de la marque et que leur mérite soit récompensé. Plusieurs d’entre eux les accompagnent depuis plus de dix ans.
Depuis son implantation en France en 2020, l'assemblage des bijoux est réalisé dans l'atelier parisien.
Qualité
Les créations Sàntibé sont faites pour durer. Les bases des bijoux en laiton sont plaquées or avec un minimum de 3 microns d’épaisseur.
Le tissage
Les bijoux ne ressemblent à aucun autre. Sàntibé utilise des techniques de confection artisanales sud-américaines très peu utilisées en Europe comme le tissage de perles à l’aiguille et le macramé.
Le tissage de perles à l’aiguille
Manuelle et ancestrale, cette technique est très peu utilisée en France. Elle s’appelle également mosaïque de perles.
L’assemblage est réalisé grâce à un fil transparent qui permet de tisser à la main les perles et cristaux colorés entre eux. Cette méthode était utilisée par les peuples amérindiens pour la création de leurs bijoux.
Un travail minutieux qui demande beaucoup de temps et de patience (jusqu’à 6 heures de tissage pour les plus grosses pièces).
Le tissage en macramé
Pour les collections d’été, les artisans forment des nœuds avec du fil ciré sur une base en métal plaqué or. La répétition du mouvement manuel permet de créer des motifs en forme d’étoile. Sàntibé incorpore des perles et cristaux pour mettre en valeur ses combinaisons de couleurs.
